John RedWood, du Financial Times constate que les pessimistes (bears) retrouvent les optimistes (bulls) sur au moins un point : en cas de correction boursière mondiale, ce sera – paradoxalement - le marché boursier américain qui sera le marché refuge. Les taureaux (bulls) estiment qu’une économie américaine en plein essor continuera de générer des profits à croissance rapide. Et de leur côté, les ours (bears) parient sur les USA parce qu’historiquement, c’est le marché dans lequel se réfugient les investisseurs quand ils ont peur ! Chacun y va de son pronostic pour savoir quand aura lieu la correction attendue. Et pendant ce temps, les petites sociétés américaines ont la cote auprès des investisseurs car elles sont moins mondialisées et donc moins susceptibles de souffrir de la guerre commerciale.