Resteront-ils positifs malgré la guerre commerciale et monétaire ? Vont-ils évoquer une baisse de leur carnet de commandes ? Seront-ils sensibles à l’impact de la hausse du pétrole sur leurs comptes ? Ou seront-ils impactés par la hausse des taux d’intérêt ? Les réponses à ces questions seront primordiales car les tensions commerciales ne se sont pas encore traduites dans les chiffres, mais qu’en sera-t-il demain ? Les commentaires des dirigeants de sociétés cotées européennes seront donc décortiqués à la virgule près. De l’avis des experts, à court terme, le risque est surtout concentré sur l’indice DAX et notamment sur sa composante « automobile ». A l’évidence, vu le poids des valeurs industrielles, l’indice DAX est supposé être plus sensible à une aggravation de la guerre commerciale que les autres places boursières.